Chroniques d'expat au Québec
Ce matin, à l’invitation de mon ami Michel, je suis parti pour une cueillette de têtes de violon. Je mentirais si je disais que je suis un adepte inconditionnel de ce met typique du printemps, que j’ai découvert au Saguenay il y a quelques années.
En tous cas, à 15 minutes du centre de Québec, j’ai apprécié de me ballader une heure et demi dans les bois en bord de rivière. Michel va se charger de nettoyer notre cueillette et la mettra sous vide.
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Je suis allée me renseigner sur le net pour savoir ce qu’était une tête de violon. Je ne connaissais pas. D’abord, j’ai pensé que c’était l’équivalent de nos asperges sauvages. Mais non. J’aurais tendance à les mettre dans de l’eau de vie et à attendre quelques mois avant de boire. Je me trompe sûrement. J’attends ta recette. Bonne soirée, Carole
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Bonjour Carole, comme je le souligne très rapidement, il est nécessaire d’ébouillanter trois fois et dans trois eaux différentes les têtes de violon. Autant pour les nettoyer -tout simplement- que pour les délester de leurs toxines. Les apprêter « directement » occasionnerait quelques menus troubles digestifs qui pourraient s’avérer graves pour des personnes sensibles.
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