Chroniques d'expat au Québec
C’est en effet au pied de la statue du sieur Dugua De Mons qu’une petite partie de la communauté française de Québec s’est réunie pour un « picnic bon enfant », à l’invitation de notre amie commune, Yasmine, du Consulat de France. Des gougères, de la pizza, du dessert avaient été prévus … Si j’avais su, je ne serais venu qu’avec de l’eau fraiche !
Je ne connaissais pratiquement personne. Heureusement ai-je pu découvrir, au moins, les personnes auprès desquelles je m’étais assis. Si je pouvais me permettre une remarque, je trouve bien dommage que la communauté française ne se soit pas dotée d’une structure plus formelle pour faciliter l’entre-aide et le réseautage. Loin de moi l’idée de créer un ghetto, mais l’union faisant la force, peut-être verrait-on moins de Français retourner au pays après quelques mois ou quelques années, s’ils avaient été soutenus, encadrés, par leur communauté. Les communautés asiatiques l’ont compris depuis très très longtemps … Nous autres, avec nos « têtes de cochon » avons encore du chemin à faire…
Tu as bien raison … Je découvre en même temps que le consulat avait organisé quelque chose ! Nous y sommes inscrits mais je n’ai pas reçu d’invitation, dommage on serait venus.
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Quel plaisir de te croiser à nouveau ! La soirée du Consulat nous a échappée complètement, car je me suis rendu compte trop tard qu’il fallait s’y inscrire. Mais en ce qui concerne l’utile solidarité qui pourrait exister entre français, je crois que seul un mouvement venant des individus serait à même de répondre à leurs besoins.
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